Mécanique newtonnienne généralisée
Etude initiale (2007)
Mercure newtonien.
La masse pseudo-scalaire.
Mécanique classique ou relativiste ?
Une unification intégrale.
"Matière et énergie noires" révélées.
Une gravitation inertielle.
L’énergie du "vide" réinterprétée.
Première partie
Lorsqu’on applique la mécanique newtonienne à certains systèmes isolés comprenant des composantes à vitesses relatives, les calculs aboutissent à une contradiction avec le théorème du centre de masse donc avec l’équation fondamentale de Newton. Le centre de masse se déplace par rapport à un repère fixe (sans accélération). On peut cependant rétablir la cohérence en tenant compte d’une masse complémentaire correspondant à l’effet inertiel des forces de Coriolis tangentielles des composantes à trajectoire relative. Ceci revient à attribuer à la masse newtonienne une nature pseudo-tensorielle variable et non scalaire. Il s’est avéré au fil des recherches sur les conséquences de la mobilité des centres de masse une analogie surprenante entre les solutions newtoniennes et relativistes. Le fait tient à une similitude formelle mais non conceptuelle des formulaires. La variante newtonienne respecte les principes de conservation de l’énergie et de la masse. Cette généralisation de l’équation fondamentale de Newton constitue une alternative à la théorie de la relativité pour l’explication de nombreux phénomènes physiques comme celle du décalage de la précession de la planète Mercure et des vitesses de rotation des étoiles dans les galaxies
Deuxième partie
Cette mécanique newtonienne généralisée nécessite une dynamique intégralement inertielle dans l’espace y compris les effets gravitationnels. Elle implique donc l’existence d’une structure inertielle de l’espace interactive avec les objets matériels, c’est à dire un milieu inertiel. Un fluide parfait, limite ultime des condensats d’atomes à la température du zéro absolu remplit toutes les conditions d’un tel milieu. Ce milieu est isotrope, homogène donc non particulaire, à viscosité nulle, compressible et possède un potentiel de densité au moins égal à la densité réelle du noyau de l’atome. En effet la matière est constituée de parcelles de ce fluide en mouvement tourbillonnaire ayant acquis du fait de leur mouvement les propriétés de ‘masse inertielle’. La pérennité des particules élémentaires est illimitée en vertu du principe de Helmholtz en mécanique des fluides. L’ensemble des interactions dans ce fluide, c’est à dire les forces fondamentales à l’œuvre dans l’univers (interaction forte et faible, gravité, forces électromagnétiques) s’interprètent de façon cohérente par le jeu combiné des forces de Bernoulli, d’Archimède et des effets centrifuges et centripètes. Ce fluide universel est donc responsable de la gravitation: un flux expansif du fluide détermine une poussée centrale par l’effet Bernoulli. La dualité matière/onde et la quantification des interactions se conçoivent aisément dans ce cadre si on applique les principes et les formules de la mécanique des fluides.
Etude complémentaire (2008)
Ce travail constitue donc un prolongement de ma publication précédente. Il comporte essentiellement une démonstration mathématique du fait que la masse newtonienne variable peut se substituer à la masse variable de Einstein selon une démarche ordonnée dans les chapitres suivants:
Chapitre 1. La masse variable newtonienne pseudo-scalaire : l’effet inertiel attribué à la masse m de l’équation newtonienne F= mγ est considérée en mécanique classique comme scalaire. Il s’avère que l’effet inertiel (‘ masse Coriolis ‘) d’objets à vitesses relatives correspond à la composante complémentaire de nature pseudo-scalaire de la force de Coriolis.
Chapitre 2. Une généralisation de l’équation fondamentale newtonienne. Cette masse pseudo-scalaire est implicites dans la valeur de la masse dans l’équation fondamentale F= mγ de Newton qui se généralise dans le cas de l’application à des objets à vitesses relatives par rapport à la rotation d’entraînement d’un système matériel par la forme F = m0 (1 + ?)γ. Le produit ?m0 insère cette composante complémentaire dans la formule F= mγ.
Chapitres 3. Une analyse comparative de la théorie de Newton et relativiste de Einstein. Les équations newtonienne et relativistes sont formellement similaires. Elles ne diffèrent que par l’insertion du terme relativiste spatio-temporel lié à l’invariance de la vitesse de la lumière dans la mécanique newtonienne, donc par l’interprétation de Einstein de la relativité dans les deux groupes Galilée et Einstein. Le second terme de l’application de la formule de la géodésique en relativité générale à la courbure de l’espace est équivalente à l’expression de la force de Coriolis dans un référentiel courbe.
Chapitre 4. La transformation de Lorentz newtonienne. je démontre que la formule de la force de Coriolis avec le paramètre vitesse d’entraînement invariant dans un système physique isolé correspond à une transformation de Lorentz identiquement à la transformation spatio-temporelle de la vitesse relativiste. Cette transformation détermine la valeur de la masse « Coriolis » impliquée.
Chapitre 5. L’énergie newtonienne complémentaire de la masse. L’énergie inertielle hérité réciproquement par deux masses, suite à un échange de quantité de mouvement est proportionnelle à la valeur de la masse, correspond à la valeur déterminée par la transformation détaillée dans le chapitre précédent. Dans le cas hypothétique de deux objets m1 et m2 à vitesses de c et –c (vit. lumière) après impulsions réciproques le résultat newtonien donne : Energie E1= m1.c² et E2=0.
Les chapitres suivants, complétés par certains commentaires théoriques, récapitulent le formulaire symbolique précédent appliqué à un exemple de calcul sur base tensorielle pour une vérification numérique.
Chapitre 6. Application numérique des démonstrations symboliques précédentes.
Chapitre 7. Centre de masse et centre d’inertie compte tenu de la masse complémentaire « de Coriolis ».
Chapitre 8. Courbes analytiques cinématiques et dynamiques compte tenu des masses complémentaires.
Chapitre 9. Valeur inertielle complémentaire de la masse mi équivalente à la force de Coriolis.
Chapitre 10. Les coefficients ? de transformation de la masse newtonienne.
Chapitre 11. La forme généralisée de l’équation de Newton.
Chapitre 12. La masse « Coriolis », la masse relativiste et la transformation de Lorentz.
Chapitre 13 l’équation de Newton généralisée
Chapitre 14. Analyse comparative des courbes de transformations des valeurs inertielles des masses newtonienne et relativiste.
v1.0 - 09/2007 | © Paul Gangloff | 12015 visites